1. Nous croyons que nous pouvons rencontrer Dieu et expérimenter l’intimité, la communication et l’unité avec lui en sa présence, si nous partageons son amour pour la justice.

2. Nous dépendons totalement de Lui pour tout. Nous avons besoin de Lui et nous nous attendons à des miracles de toutes sortes pour confirmer l’Évangile dans notre ministère.

3. Nous recherchons un réveil parmi les brisés, les modestes et les humbles, et commençons avec le ministère auprès des pauvres. Dieu choisit les choses éléments faibles et méprisées du monde pour confondre les orgueilleux, démontrant sa propre force et sa sagesse.

4. Nous comprenons la valeur de la souffrance dans la vie chrétienne. Apprendre à aimer exige la volonté de souffrir pour la justice. La discipline et les épreuves font de nous des saints et produisent en nous la sainteté sans laquelle nous ne verrons pas sa face et ne partagerons pas sa gloire. Avec Paul, nous nous réjouissons de nos faiblesses, car lorsque nous sommes faibles, nous sommes forts. Sous pression, nous apprenons à compter sur Dieu, qui ressuscite les morts (2 Cor. 1:9).

5. La joie du Seigneur n’est pas facultative, et elle dépasse de loin nos souffrances ! En Jésus, cela devient notre motivation, notre récompense et notre arme spirituelle. En Sa présence est la plénitude de joie, et avec Paul nous témoignons que dans toutes nos difficultés notre joie ne connaît pas de limites (2 Cor. 7:4). Elle notre force et notre énergie, sans lesquelles nous mourons.